Vous serez certainement étonné d'apprendre que je m'appelle Steven Diot !
Né avec le nez dans les ordinateurs…
Né en 1985, une petite dizaine d'années après les premiers Personal Computers, j'ai codé pour la première fois en BASIC vers 8 ans sur un Amstrad CPC464 !
Déjà à l'époque, je trouvais ça un peu magique que des lignes de texte puisse se transformer en images, son ou calculs.
J'avais déjà, semble-t-il, les gènes du fainéant intelligent à l'époque : si un ordinateur pouvait travailler pour moi, alors pourquoi je ne le laisserais pas faire ?
Puis j'ai mis les mains dans le cambouis.
Dans les années 2000, j'ai eu mon premier PC personnel que j’ai trifouillé dans tous les sens car je trouve que c'est la meilleure façon d'apprendre. D'ailleurs, je ne sais plus combien de fois j’ai réinstallé Windows Millenium !
Une fois que j'ai bien compris les principes, je me suis mis à assembler mes premiers PC parce que je trouvais ça fun, et que c'était moins cher ! C'est toujours bien de comprendre les principes matériels avant d'aller développer du logiciel.
C'était une période beaucoup moins orientée sur la programmation, et plus sur le matériel et l'utilisation des logiciels. C'est d'ailleurs aussi à cette période que j'ai découvert Linux et ça a marqué le début du retour à la programmation.
Retour à la programmation comme outil.
Même si j'avais fait des cours pendant mes 2 années passées à l'INSA Toulouse, mon choix de quitter cette école d'ingé pour aller étudier les Maths m'a fait mettre de côté la programmation pendant quelques années.
Puis elle est revenue naturellement en entrant en Master 2 Recherche de Mathématiques Appliquées (on revient toujours sur ce qu'on aime !). Tout un pan des maths, la simulation numérique, s'appuie entièrement sur la programmation.
Et j'ai passé les 5-6 années suivantes, pour mon doctorat et mes années de recherche, à mixer les maths, la physique et l'informatique à travers la simulation numérique de phénomènes physiques ! Du code, du code et encore un peu de code.
L'avantage d'être un matheux quand on code ?
Même si je code beaucoup, je ne suis pas informaticien. Je reste un matheux dans l'âme. Je n'aime pas le code pour lui-même, mais pour ce qu’il permet de faire : faire travailler l’ordinateur à ma place !
Pour moi, le code est un outil qui doit permettre de rendre simple une tâche potentiellement très complexe. Et ma vision de mathématicien est importante pour cela, car je passe au moins autant de temps à comprendre le problème, et à l'épurer, avant de coder.
Je cherche la simplicité et l'élégance de la solution, et non l'élégance du code avant tout. Pour moi, le code doit être simple, robuste, lisible et facile à faire évoluer (ça ne reste qu'un outil) !
Depuis 2016, la diversification.
En 2016, j'ai quitté le monde de la recherche, trop dogmatique à mon goût, et ai décidé de devenir indépendant et de laisser ma curiosité guider mes projets.
Depuis, je navigue de projet en projet tout en maintenant en parallèle un projet qui me tient à cœur : les Maths en Tongs, un site dans lequel je partage ma vision des maths pour aider les lycéens.
Ce site - et quelques dizaines d'autres - m’ont tout appris de ce que je sais sur WordPress et du marketing web. Je me suis formé auprès de références, j'ai testé et j'ai décortiqué tout ce que je pouvais pour comprendre. Car comme en maths, je crois qu'on ne comprend vraiment quelque chose qu'en les décortiquant.
L'adaptation comme mot-clé.
J'ai donc eu un parcours diversifié, et ça continue encore aujourd'hui. J'aime le changement car il m'oblige à m'adapter, et donc à apprendre. Régulièrement je m'engage donc dans des projets qui m'oblige à me former rapidement !
C'est grâce à cela que je me suis retrouvé à coder en Fortran, C ou C++ pour des applications intenses en calcul (simulations numériques de phénomènes réels), en PHP, HTML, CSS et Javascript pour les développements web.
Mais dès que je le peux, et que c'est possible, je privilégie le Python car les développements sont extrêmement rapides Bref, j’adapte le ou les outils au besoin, car chaque développement est unique.
L'amour des situations complexes ?
C'est un peu bizarre de le tourner comme cela, mais c'est un peu ça : je prends vraiment du plaisir à me retrouver face à des situations très complexes pour lesquelles il faut arriver à comprendre la globalité pour en sortir l'essentiel.
C'est ce qui fait ma plus grand force : je n'ai pas peur de la complexité, au contraire je la recherche. Je me noie dans le sujet jusqu'à le comprendre en profondeur pour ensuite proposer des solutions simples et parfaitement adaptées.
J'aime les situations qui feront fuir - ou sur-facturer ! - les agences de développement logiciels classiques. où aucune concession sur la précision du développement n'est acceptable.
Je peux vous aider si...
Si vous cherchez un développeur pour faire de l'à-peu-près, il y en a plein, mais ce n'est pas moi ! Par contre, si vous aimez les choses propres, précises et bien pensées, là, je peux sûrement vous aider.
Découvrez ce que je propose en termes de développement ici, d'automatisation là, ou si vous préférez le concret, voici un portfolio contenant certaines de mes réalisations.